Déontologie
La bonne marche d’une psychothérapie nécessite qu’une confiance réciproque s’installe. Cette confiance va de pair avec un certain degré d’ouverture. L’alliance thérapeutique correspondante entre la personne en thérapie et le thérapeute est un centrale pour atteindre à l’efficacité. Il importe que la relation thérapeutique soit sûre, fiable et ressentie comme telle. La thérapie repose en bonne partie sur un dialogue entre l’analysant et le thérapeute. Chacun d’entre eux y trouve sa part de responsabilité. Cela dit, mon rôle consiste également en partie à favoriser ce dialogue. Afin de garantir un standard élevé dans ma pratique, je travaille dans le respect du code de déontologie de la Fédération Française de Psychothérapie et Psychanalyse dont je suis membre. Par conséquent, je vous invite à en prendre connaissance avant toute demande de thérapie.
La déontologie fait référence à l’ensemble des principes et règles qui gèrent, guident une activité professionnelle. Ces normes sont celles qui déterminent les devoirs minima exigibles envers les professionnels, dans l’accomplissement de leur activité. Dans le cadre d’une psychothérapie, elle est aussi la garante d’un cadre sécurisant aux personnes qu’ils accompagnent. Ce dernier point est d’autant plus important que l’efficience d’une psychothérapie se fonde sur la confiance, gage de l’alliance thérapeutique qui peut se nouer entre le thérapeute et le thérapisant. De ce point de vue, j’adhère au code de déontologie de la FF2P (Fédération Française de Psychothérapie et Psychanalyse) qui rassemble des professionnels des principaux courants psychothérapeutiques et psychanalytiques en France. Vous en trouverez le texte ci-dessous, dans sa dernière mise à jour approuvée le 21/10/2021.